19.2.15

Hommage de Voltaire à Confucius

Lu dans le livre consacré aux Batailles de l'Empereur de Chine, ce quatrain de Voltaire à la gloire de Confucius:

"De la seule raison salutaire interprète
Sans éblouir le monde, éclairant les esprits
Il ne parla qu'en Sage et jamais en Prophète
Cependant on le crut et même en son pays"
Voltaire, Dictionnaire Philosophique
...

Le saviez-vous ?
Confucius était une sorte de géant de deux mètres quinze, dont le père était encore plus grand.

Les légendes qui entourent sa naissance sont très jolies :
Avant sa naissance, à K’iue li, son pays natal, une licorne vomit un livre orné de pierres précieuses. On y lut ces mots : « Un enfant, formé des parties les plus subtiles de l’eau, soutiendra l’empire ébranlé de la dynastie des Tcheou et sera roi sans couronne. » La mère de Confucius fut étonnée de ce prodige. Avec un cordon de soie, elle lia par la corne le mystérieux animal, qui disparut au bout de deux nuits.
La nuit de sa naissance, deux dragons entourèrent le toit de la maison. Cinq vieillards, qui étaient les essences des cinq planètes, descendirent dans la cour. Auprès des appartements de la mère, on entendit le chant du Céleste Potier. Des voix dans les airs prononcèrent ces mots : « Le Ciel influencera la naissance d’un fils saint. »
 

 

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