Célébrons cette année du cheval à notre manière, avec un texte de Wenceslau
de Morães sur les chevaux japonais ; ceux de Kanaoka, si magnifiquement
peints par le grand artiste qu'ils prenaient vie et allaient batifoler dans
la nature, et ceux des temples shinto, petits chevaux blancs aux yeux bleus,
sacrés, car messagers des dieux.
C'est un joli texte dans lequel l'auteur s'est montré particulièrement inspiré, notamment dans sa description des scènes de rue.
C'est un joli texte dans lequel l'auteur s'est montré particulièrement inspiré, notamment dans sa description des scènes de rue.
Le parallèle qu'il fait, à la fin du texte, entre sa vie et celle du cheval, en dit plus sur la tristesse et le déracinement de l'exilé que ne le
ferait une longue explication.
Pour connaître l'histoire du Cheval blanc du temple de Nanko, suivez ce
LIEN.
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