27.3.17
Les abricotiers en fleurs...
... n'ont nulle part où fuir la tristesse du printemps.
Hán Yuán Jí (1118-1187)
Vers emprunté au site
Vent du Soir
, une sorte de havre de beauté et d'éternité, qui propose une anthologie de la poésie chinoise tardive.
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